Décider de pratiquer la médecine dans un quartier dit « défavorisé », c’est accepter d’exercer une médecine sociale, qui dépasse la mise à disposition de ses compétences scientifiques. Dans certains quartiers, notamment lorsque la consultation à domicile concerne une personne âgée ou vulnérable du fait de sa situation sociale, la visite du généraliste va au-delà du soin à proprement parler. Par sa présence, le médecin rompt la solitude et offre une oreille attentive à son patient. La consultation prend alors des allures d’entretien social ou psychologique.
Quartiers sensibles : un exercice parfois périlleux
- 2 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
La problématique de la sécurité dans l’exercice de la médecine générale ne cesse de faire parler d’elle. Trop souvent stigmatisés, les quartiers socialement défavorisés ne sont pas les seuls lieux où la violence envers les généralistes se répand. Diverses initiatives sont développées afin d’accompagner les médecins dans leur exercice et les protéger face aux comportements inadaptés de leurs patients.

Immeuble
Crédit photo : VOISIN/PHANIE
La suite de l’article est réservée aux inscrits.
L’inscription est GRATUITE. Elle vous permet :
- d’accéder aux actualités réservées aux professionnels de santé,
- de recevoir les informations du jour directement dans votre boîte mail,
- de commenter les articles de la rédaction, de participer aux débats et d’échanger avec vos confrères.
Votre inscription NOUS permet de contrôler le contenu auquel nous avons le droit de vous donner accès en fonction de votre profession (directives de l’ANSM).
Inscrivez-vous GRATUITEMENT pour lire la suite de l’article.
Je m'inscrisDéjà inscrit ?
Soutenez la presse qui vous soutient
Abonnez-vous pour bénéficier de l’accès en illimité à tous les articles.
1€ le premier mois puis 7€50/mois
(résiliable à tout moment)
Cantons sans médecins : la coercition n'est pas la solution selon les jeunes généralistes
L’ISNAR-IMG propose la création d’une licence de remplacement en autonomie supervisée
Remplacement : le durcissement des règles menace-t-il la découverte de l'exercice libéral ?
« Applaudis au printemps, contraints à l'automne », les étudiants répliquent aux menaces de coercition