« Il y a des cas, heureusement assez rares, d’inhumation prématurée d’individus qui ne sont pas morts et qui se réveillent dans leur cercueil. En temps d’épidémie, en particulier, la nécessité d’une inhumation hâtive et le danger de la contagion ne permettent pas toujours un examen suffisamment approfondi pour éliminer toute chance d’erreur, erreur excessivement grave, dans la constatation d’un décès.
Si « Le Généraliste » était paru en septembre 1904
Un signe de certitude de la mort
Publié le 30/09/2015
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail

La suite de l’article est réservée aux inscrits.
L’inscription est GRATUITE. Elle vous permet :
- d’accéder aux actualités réservées aux professionnels de santé,
- de recevoir les informations du jour directement dans votre boîte mail,
- de commenter les articles de la rédaction, de participer aux débats et d’échanger avec vos confrères.
Votre inscription NOUS permet de contrôler le contenu auquel nous avons le droit de vous donner accès en fonction de votre profession (directives de l’ANSM).
Inscrivez-vous GRATUITEMENT pour lire la suite de l’article.
Je m'inscrisDéjà inscrit ?
Soutenez la presse qui vous soutient
Abonnez-vous pour bénéficier de l’accès en illimité à tous les articles.
1€ le premier mois puis 7€50/mois
(résiliable à tout moment)
Sur le blog de Luc Périno
Science brutalisée
Les patients les plus fragiles n’ont pas tous repris leur suivi
Édito
Gare au contrecoup
Sur le blog de Luc Périno
Mourir à domicile