Le sujet peut paraître déconnecté de l’exercice routinier de la médecine où l’inquiétude est bien plus de passer à côté d’un diagnostic et d’infliger une « perte de chance » au patient que d’être dans la problématique du surdiagnostic et de la surmédicalisation. Et se déconditionner de réflexes issus de 50 ans de culture de médecine triomphante – où les problématiques concernaient davantage le sous-diagnostic que le surdiagnostic – n’est pas chose facile. Pourtant, personne ne peut ignorer ce sujet.
Éditorial
Rançon du progrès ? Abonné
Publié le 30/05/2014
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