La population de généralistes libéraux est encore composée aux deux tiers d’hommes. Mais, désormais, en dessous de 45 ans, les femmes sont majoritaires. Martine Bungener économiste, sociologue et directrice de recherche émérite au CNRS fait remonter la féminisation de la profession a au moins deux décennies, mais estime qu’elle produit ses pleins effets aujourd’hui. « Le mouvement de féminisation a d’abord touché les spécialités en médecine de ville et n’a atteint que plus tard le métier de généraliste ».
L’inéluctable féminisation de la profession Abonné
Publié le 06/11/2015
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail

Crédit photo : GARO/PHANIE
La suite de l’article est réservée aux abonnés.
Abonnez-vous dès maintenant
1€ le premier mois puis 7€50/mois
(résiliable à tout moment)
Déjà abonné ?
Vous êtes abonné au journal papier ?
J'active mon compte
Sur le blog de Luc Périno
Science brutalisée
Les patients les plus fragiles n’ont pas tous repris leur suivi
Édito
Gare au contrecoup
Sur le blog de Luc Périno
Mourir à domicile