Qu’ils soient militants de la première heure ou généralistes pratiquant l’IVG médicamenteuse sans convictions politiques particulières, ces hommes et ces femmes avancent tous une motivation commune : le bien-être de leurs patientes. « C’est vrai que le profil « type » du médecin un peu soixante-huitard qui milite pour l’IVG a un peu changé », explique tout en esquissant un sourire le Dr Danièle Gaudry, gynécologue à Saint-Maur et co-responsable du Planning familial. « Je suis entourée de spécialistes ou de généralistes qui ne brandissent pas tous la bannière « Droit des femmes ».
40 ans de loi Veil
Les nouveaux acteurs de l’IVG en ville Abonné
Publié le 16/01/2015
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À la veille de la date anniversaire de la promulgation de la loi autorisant l’IVG, les célébrations se multiplient, alors que depuis plusieurs années déjà certains dans le monde de la santé tirent la sonnette d’alarme : l’accès à l’IVG serait en danger. Au travers de portraits de généralistes qui pratiquent l’IVG médicamenteuse, retour sur un exercice atypique qui tend à prendre de plus en plus le relais des services d’orthogénie à l’hôpital. Mais les effectifs ne suivent pas vraiment.

Crédit photo : PHANIE
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