Alors que les études populationnelles renforcent les suspicions pesant sur de nombreux polluants, plusieurs travaux relancent le débat sur les doses journalières acceptables (DAJ) en théorie sans effet sur l'homme, et éclairent d'un jour nouveau les mécanismes d'action, multiples, des polluants. Pour les perturbateurs endocriniens, par exemple, plusieurs études pointent des toxicités s'exprimant pour des doses bien inférieures à celles réputées toxiques. Un premier travail étudiant l'impact d'une DAJ de bisphénol A sur la souris met en évidence un effet sur le comportement sexuel.
Perturbateurs endocriniens
Les doses journalières admissibles le sont-elles vraiment ? Abonné
Publié le 05/12/2014
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