?Privés de thèses et, donc, de titres, au moins 27 résidents et internes en médecine générale, sans doute plus, sont aujourd’hui dans l’incapacité de finir leur formation. Avec la réforme du 3e cycle de Médecine Générale en 2004, une période de transition prévoyait de donner jusqu’en 2012 aux anciens résidents pour passer leur thèse. Contextes particuliers ou problèmes personnels ont empêché certains de le faire dans les délais et on leur refuse aujourd’hui catégoriquement. « Une interprétation souple est possible, mais ce n’est pas le choix qu’a fait la Direction générale de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle (DGESIP) », explique Théo Combes, président du Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes (SNJMG). Son syndicat a donc décidé de s’emparer de l’affaire et d’aider ces personnes « souvent, aujourd’hui, en situation de précarité ». Des lettres ont été envoyées à Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’éducation, au Premier ministre ou à la DGESIP sans plus de résultats. Le syndicat a donc décidé de taper plus fort encore et prépare un recours auprès du Conseil d’État.
On parle de vous
Le sort des résidents « sans-thèses » mobilise
Publié le 24/10/2014
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés

Crédit photo : ADAM GAULT/SPL/PHANIE
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Généraliste: 2696
Sur le blog de Luc Périno
Science brutalisée
Les patients les plus fragiles n’ont pas tous repris leur suivi
Édito
Gare au contrecoup
Sur le blog de Luc Périno
Mourir à domicile