Deux ans après les premières mesures visant à limiter le nombre de grossesse sous valproate, l’ANSM vient de donner un tour de vis supplémentaire en contre-indiquant purement et simplement la prescription de ces spécialités en psychiatrie chez les femmes enceintes et les femmes en âge de procréer n’utilisant pas de contraception efficace.
Réduire davantage l’exposition fœtale
Sur le blog de Luc Périno
Science brutalisée
Les patients les plus fragiles n’ont pas tous repris leur suivi
Édito
Gare au contrecoup
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Mourir à domicile