Pour un généraliste sur deux (44 %), l’avis de l’urologue est requis en priorité lorsque l’hypertrophie bénigne de la prostate s’aggrave : persistance et une exacerbation des signes fonctionnels, malgré la mise en place d’un traitement de première intention, ou la survenue de complications. « Les patients se plaignent de dysurie ou de pollakiurie de plus en plus gênante. Les complications sont des infections urinaires et des problèmes de rétention aiguë ou chronique », précise le Dr Dominique Lagadec, urologue à la clinique de la Loire de Saumur.
HBP
La menace de l’aggravation Abonné
Publié le 06/03/2009
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Dans la prise en charge de l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP), c’est surtout en cas d’aggravation de la pathologie que l’aide de l’urologue s’avère décisive.

Crédit photo : ©ALIX/PHANIE
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