Lors du congrès, le Pr Paolo Palatini (Padoue) a insisté sur la fréquence cardiaque (FC) : « Vous pouvez contrôler la pression artérielle, si la FC est élevée, le risque reste élevé », a-t-il indiqué. La FC témoigne d’une activité sympathique augmentée qui a des conséquences sur la fonction endothéliale, le risque d’arythmies, le développement et la rupture des plaques d’athérosclérose. Il a été démontré en post-infarctus que le bénéfice du traitement par bêta-bloquant était proportionnel à l’amplitude de la réduction de la FC.
La fréquence cardiaque aussi importante que la PA ? Abonné
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Publié le 17/06/2016
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