De nombreuses substances chimiques, dont les effets perturbateurs sur le système endocrinien pourraient favoriser l'émergence de cancers ou de troubles du système nerveux, doivent faire l'objet de recherches approfondies, plaident deux agences de l'ONU dans un rapport publié mardi. Le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) mettent en évidence les risques que représentent les perturbateurs endocriniens, quand ils pénètrent dans l'environnement. «Près de 800 substances chimiques sont reconnues ou suspectées d'interférer avec les récepteurs hormonaux et avec la synthèse ou la conversion des hormones», soulignent les agences, qui relèvent que «seule une petite fraction de ces substances ont été étudiées par des tests à même d'identifier leurs effets perturbateurs.» PNUE et OMS relèvent que les pertubateurs enocriniens peuvent contribuer à plusieurs types de pathologies, : cryptorchidie chez le jeune garçon, cancer du sein, de la prostate, de la thyroïde, troubles du développement du système nerveux chez l'enfant... Dans certains pays, jusqu'à 40% des jeunes hommes ont un sperme de mauvaise qualité, ce qui altère leur capacité à concevoir un enfant, souligne aussi le rapport.
Il faut plus de recherches sur les perturbateurs endocriniens, selon l’OMS
Publié le 20/02/2013
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Source : legeneraliste.fr
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