La possibilité de recourir à un donneur vivant pour la transplantation de certains organes « ne doit en aucun cas faire perdre de vue que la priorité est d'améliorer la fréquence des dons post-mortem » estime l'Académie nationale de médecine dans un rapport publié mardi. En dépit de la pénurie d’organes à transplanter, elle rappelle que le recours à un donneur vivant « n'est justifié que si le risque opératoire, les éventuelles séquelles physiques et/ou psychologiques pour le donneur sont acceptables et si le bénéfice pour le receveur est réel ». En France, ce type de don n’est possible qu’à l’intérieur du cercle familial élargi. En 2007, 235 patients des greffes rénales et 18 greffes hépatiques ont été réalisées à partir d'un donneur vivant.
Greffes : priorité aux donneurs décédés pour l’Académie de médecine
Publié le 31/03/2009
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Source : legeneraliste.fr
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