Indiscutablement, la mesure des facteurs de risque s’applique un peu mieux à la population masculine que féminine, et ce parce que les relevés épidémiologiques réalisés à l’époque où les équations de risque ont été établies, étaient majoritairement masculins. « Les cas répertoriés étaient essentiellement des hommes qui présentaient des infarctus, des morts subites, etc., explique le Dr François Paillard (CHU de Rennes). Mais ces équations méritent d’être révisées car elles sont désormais moins adaptées aux caractéristiques des populations actuelles.
Risque cardiovasculaire
Gare aux cumulards ! Abonné
Publié le 24/05/2013
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En cardiologie, il faut connaître les échelles de risque …pour mieux les oublier. Le but est de repérer les patients cumulant plusieurs petits facteurs de risque pouvant passer inaperçus.
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