Souffrant d’un mal de gorge un patient a consulté le Dr F, médecin généraliste. Celui-ci diagnostiqua une amygdalite et prescrivit un antibiotique. Six jours plus tard, le malade qui présentait un trismus consulta de nouveau le médecin qui prescrivit un autre antibiotique et un corticoïde. Trois jours après le malade présentait un important œdème cervicofacial et dut être hospitalisé d’urgence. Le diagnostic exact fut alors posé : un abcès dentaire au niveau de la dent de sagesse inférieure droite.
Article 33 du Code de déontologie : « Le médecin doit toujours élaborer son diagnostic avec le plus grand soin, en y consacrant le temps nécessaire… »
Diagnostic : de la faute et de ses conséquences Abonné
Publié le 27/03/2009
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Un médecin généraliste a été appelé au chevet d’un patient, par deux fois à six jours d’intervalle. Suite à diagnostic erroné, et un traitement inapproprié le patient est devenu aveugle. Quelle est la part de responsabilité du médecin ?
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