« Adopter une attitude thérapeutique multifactorielle (LDL-c < 100 mg/dl, PA = 130/80 mm Hg) infléchit la mortalité globale et les complications vasculaires chez le diabétique de type 2. Il n'y donc aucune raison de ne pas traiter très fort au début du diabète. Après la bataille, c'est peine perdue, lorsque l'insulinorésistance et l'insulinopénie sont bien avancées et leurs dégâts irréversibles », résume le Pr Gérard Salma, ancien chef du service de diabétologie de l’Hôtel-Dieu (Paris).
Femmes et diabète de type 2
Des objectifs glycémiques à la carte Abonné
Publié le 12/06/2009
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Deux messages forts en 2009 : intensifier le traitement plus précocement, au moyen de l’insuline mais pas seulement (glitazones, agonistes du GLP-1 ou inhibiteurs DPP IV) et adoucir les objectifs glycémiques à 7%-7,5% pour les diabétiques de type 2 à haut risque cardiovasculaire.

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