Le Généraliste. Vous êtes membre du CCNE. Avec les progrès de ces 40 dernières années, la médecine est-elle davantage devenue un champ de réflexion pour le philosophe ? Jusqu’à quel point le progrès médical vous semble-t-il bénéfique pour le patient ?
Cynthia Fleury. La médecine a toujours été un champ de réflexion pour la philosophie au sens où celle-ci s’intéresse au « souci de soi », lui-même indissociable des justes rapports entre « l’âme » et le corps.
Sur le blog de Luc Périno
Science brutalisée
Les patients les plus fragiles n’ont pas tous repris leur suivi
Édito
Gare au contrecoup
Sur le blog de Luc Périno
Mourir à domicile