« Un traitement d’IPP au long cours augmente le risque de cancer de l’estomac même après éradication thérapeutique d’H. Pylori », conclut un article venant de paraître dans Gut publié par le British Medical Journal. Ce n’est pas la première fois que ce type de médicament est pointé du doigt pour son effet cancérogène. En 2016, une méta-analyse avait montré une augmentation du risque du cancer de l’estomac chez les patients sous inhibiteurs de la pompe à protons (IPP).
Cancer de l'estomac : le traitement par IPP au long cours mis en cause
- 4 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail

Cancer de l'estomac
Crédit photo : SPL/PHANIE
La suite de l’article est réservée aux inscrits.
L’inscription est GRATUITE. Elle vous permet :
- d’accéder aux actualités réservées aux professionnels de santé,
- de recevoir les informations du jour directement dans votre boîte mail,
- de commenter les articles de la rédaction, de participer aux débats et d’échanger avec vos confrères.
Votre inscription NOUS permet de contrôler le contenu auquel nous avons le droit de vous donner accès en fonction de votre profession (directives de l’ANSM).
Inscrivez-vous GRATUITEMENT pour lire la suite de l’article.
Je m'inscrisDéjà inscrit ?
Soutenez la presse qui vous soutient
Abonnez-vous pour bénéficier de l’accès en illimité à tous les articles.
1€ le premier mois puis 7€50/mois
(résiliable à tout moment)
Sur le blog de Luc Périno
Science brutalisée
Les patients les plus fragiles n’ont pas tous repris leur suivi
Édito
Gare au contrecoup
Sur le blog de Luc Périno
Mourir à domicile