Tabac, alcool, alimentation et inactivité physique contribuent jusqu’à 70 % des différences sociales de mortalité. Autant de comportements qu’il est possible de modifier au travers de messages préventifs. Mais ces messages de « bonne santé » sont-ils dispensés de façon identique que l’on soit ouvrier, cadre ou sans ressources ? Les pratiques préventives au cabinet ont-elles tendance à réduire ou au contraire à augmenter les inégalités sociales dans les comportements de santé ?
Et dans la vraie vie, ça se passe comment la prévention ? Abonné
Publié le 18/12/2015
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