Le Généraliste. à la veille de votre départ de la présidence de la CSMF, quel regard portez-vous sur ces douze années à la tête de ce syndicat et sur quasi trente ans de syndicalisme ?
Michel Chassang. Quand on commence à exercer, on perçoit très vite les limites de notre métier. C’est à ce moment que l’on prend conscience que ce n’est pas seul qu’on peut changer les choses. C’est ce qui m’a amené à m’engager dans une structure syndicale.
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Édito
Pique et pique et colère grave
À vos marques, piquez !