Démographie médicale déclinante, demande de soins croissante : a priori, la faillite ne menace pas de très près le généraliste qui s’installe. À moins d’être implanté à des dizaines de kilomètres de tout village digne de ce nom (ce qui peut arriver), un cabinet est en effet à peu près assuré de bénéficier d’un flux d’activité lui permettant de couvrir ses charges et de nourrir son titulaire. Ce qui ne veut pas dire que ce dernier ne doit pas surveiller son compte de résultat.
Endettement, déficit : quels signaux doivent alerter ?
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail

Relevés
Crédit photo : VOISIN/PHANIE
La suite de l’article est réservée aux inscrits.
L’inscription est GRATUITE. Elle vous permet :
- d’accéder aux actualités réservées aux professionnels de santé,
- de recevoir les informations du jour directement dans votre boîte mail,
- de commenter les articles de la rédaction, de participer aux débats et d’échanger avec vos confrères.
Votre inscription NOUS permet de contrôler le contenu auquel nous avons le droit de vous donner accès en fonction de votre profession (directives de l’ANSM).
Inscrivez-vous GRATUITEMENT pour lire la suite de l’article.
Je m'inscrisDéjà inscrit ?
Soutenez la presse qui vous soutient
Abonnez-vous pour bénéficier de l’accès en illimité à tous les articles.
1€ le premier mois puis 7€50/mois
(résiliable à tout moment)
Complémentaires : polémique autour de l’augmentation des tarifs
Édito
Le magicien dose
Un généraliste nommé à la tête du Haut Conseil du DPC
Covid-19 : plus besoin du généraliste pour les arrêts de travail