« Bien que l’échographie soit employée avec succès pour porter un diagnostic de goutte, il n’existe pas de données sur sa place dans le suivi de l’évolution de cette maladie après l’initiation du traitement hypo-uricémiant. » Ces propos de Sébastien Ottaviani (hôpital Bichat, Paris), lors du congrès de l’EULAR, ont introduit son étude qui montre que l’échographie peut constituer un bon moyen de suivre une goutte traitée.
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Publié le 27/06/2014
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