La plupart des bronchopathies sont traitées sans EFR préalables, ce qui va à l’encontre des règles de bonne pratique. « Or le médecin généraliste (MG) est le premier acteur du diagnostic précoce », rappelle le Dr David Darmon (Nice). Jusqu’ici les essais de dépistage par des mini-spiromètres type Piko 6 ont échoué. En cause des formations trop courtes et hétérogènes, un manque de connaissance de la physiopathologie respiratoire, de suivi post-formation et de reconnaissance financière.
BPCO
Pour une pratique de la spirométrie en médecine générale Abonné
Publié le 07/03/2014
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