Bien que le nombre d’études sur le sujet soit encore limité et que les méthodologies utilisées soient variées, la mélatonine semble pouvoir trouver une utilité chez les patients psychiatriques stabilisés ou en rémission afin de prévenir les rechutes lorsque des symptômes d’insomnie ou des troubles du sommeil persistent. Dans ce cas, la mélatonine pourrait améliorer la qualité du sommeil et stabiliser les rythmes circadiens, deux composantes essentielles de la physiopathologie de nombre de malades psychiatriques.
Rythme circadien, sommeil
MÉLATONINE : UNE PLACE QUI S’AFFIRME EN PSYCHIATRIE Abonné
Publié le 03/10/2019
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Alors que de plus en plus de psychiatres et de gériatres utilisent la mélatonine en traitement adjuvant de pathologies psychiatriques, la Société française de recherche et de médecine du sommeil (SFRMS) publie ses premières recommandations d’experts sur cette thématique. La mélatonine va dans les années qui viennent trouver une place de plus en plus importante comme traitement adjuvant de pathologies psychiatriques associées à des troubles des rythmes biologiques ou des troubles du sommeil.

Mélatonine
Crédit photo : VOISIN/PHANIE
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