En 2012, la North American Menopause Society (NAMS) et l’International Society for the Study of Women’s Sexual Health (ISSWSH) ont décidé de créer la nouvelle terminologie de syndrome génito-urinaire pour remplacer le terme d’atrophie vulvo-vaginale, jugé inadéquat et trop restrictif pour décrire les différents symptômes vulvaires, vaginaux et urinaires, en rapport avec le déficit estrogénique dû à la ménopause.
Gynécologie
LE SYNDROME GÉNITO-URINAIRE Abonné
Publié le 01/06/2017
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Ce syndrome résulte de la chute des œstrogènes à la ménopause. Il est d’apparition progressive et chronique. Insuffisamment dépisté, il détériore la qualité de vie des patientes. Administrés localement, les œstrogènes sont efficaces.

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Crédit photo : GARO/PHANIE
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