Mr G.B, âgé de 78 ans, est à la retraite depuis 15 ans. Il est marié. Lui et son épouse ont eu trois enfants. Ancien militaire, il a participé aux événements d'Algérie. Il s'agit pour lui d'une période douloureuse. Il a pour antécédents un diabète de type II et une hypertension. Il se plaint depuis les années 60 de troubles du sommeil et notamment de difficultés à l'endormissement. Il reconnaît sa nature anxieuse. Il ne souffre pas de cette anxiété dans la journée. Depuis 15 ans, il prend un demi-comprimé d’oxazépam 50 tous les soirs.
Psychiatrie
LE SEVRAGE EN BENZODIAZÉPINES, POURQUOI C’EST SI DIFFICILE ? Abonné
Publié le 03/05/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
La prévalence de consommation en benzodiazépines et de molécules apparentées est de 14.3 % à 33.1 % chez les patients de 60 ans et plus. Le sevrage de ces molécules est difficile pour ces patients. Peu d’études ont évalué les facteurs explicatifs de la difficulté de ce sevrage.
La suite de l’article est réservée aux abonnés.
Abonnez-vous dès maintenant
1€ le premier mois puis 7€50/mois
(résiliable à tout moment)
Déjà abonné ?
Vous êtes abonné au journal papier ?
J'active mon compte
Tabac, cannabis, psychotropes : la crise sanitaire a aggravé la consommation des plus vulnérables
Élimination du VHC : la France sur la bonne voie mais…
Hépatopathies et Covid-19, un risque sous-estimé ?
Journée mondiale
Autisme, la piste génétique