Le genre compte pour beaucoup dans les maladies cardiovasculaires (MCV). Tout d’abord pour des raisons anatomiques, les artères étant plus fines et moins longues chez la femme. Ces différences se répercutent sur la régulation de la pression artérielle du fait d’une distance raccourcie entre le cœur et les artères distales.
Maladies cardio-vasculaires
Le cœur féminin à la peine Abonné
Publié le 12/06/2015
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Spécificités anatomiques, variations hormonales, les femmes cumulent les désavantages vis-à-vis des maladies cardiovasculaires. Et si les œstrogènes les sauvent un temps, la sanction de la carence œstrogénique à la ménopause est sans appel. Pourtant la cardiologie se conjugue encore souvent au masculin.

Crédit photo : SPL/PHANIE
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