Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) ont fait leur apparition en France à la fin des années quatre-vingt. Ils ont révolutionné la prise en charge des maladies liées à l’acide, alors traitées essentiellement par les antagonistes des récepteurs H2, au profil d’efficacité antisécrétoire à court et long termes beaucoup moins favorable, produisant des effets secondaires et responsables d’interactions médicamenteuses plus fréquentes.
Gastro-entérologie
LE BON USAGE DES INHIBITEURS DE LA POMPE À PROTONS Abonné
Publié le 14/02/2019
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Les IPP ont révolutionné la prise en charge des maladies liées à l’acide gastrique. Mais 60 % des prescriptions sont hors AMM, selon l'ANSM. Cette classe médicamenteuse souffre d'une mauvaise réputation secondaire à des résultats d'études peu concluantes et mal construites. Revenir aux indications de l'AMM est une nécessité absolue pour préserver leur efficacité.

IPP
Crédit photo : GASTROLAB/SPL/PHANIE
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