Alors que le syndrome de l’intestin irritable (SII) touche près de 5 à 10 % de la population, les mécanismes en cause restent mal connus. Le microbiote pourrait intervenir, comme le suggèrent plusieurs études descriptives mettant en évidence des dysbioses chez les patients atteints. Celles-ci ne sont toutefois pas systématiques et pour le moment, les chercheurs peinent à identifier finement les anomalies en cause et leur implication réelle dans le SII.
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