À peine la page tournée sur l’enquête journalistique internationale des “Implant Files”, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a organisé le 22 janvier dernier une journée de réunion* avec différents experts et des représentants de patients sur les mesh – terme anglo-saxon désignant les bandelettes sous-urétrales et implants de renfort pelvien, en raison des complications liées à ces dispositifs.
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Implants pelviens,quand ça se complique Abonné
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Publié le 01/02/2019
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En France, environ 50 000 bandelettes et implants pelviens sont posés chaque année, non sans complications. Même si elles sont rares, ces dernières peuvent être très invalidantes. L’ANSM a réuni experts et patients pour mieux prévenir et prendre en charge ces problèmes.

iu
Crédit photo : GARO/PHANIE
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