"Nous estimons que la décision de vivre ou de ne pas vivre n'appartient pas aux seuls médecins et que l'avis de la famille doit être intégré dans cette décision". La secrétaire générale de l'UNAFTC, Suzanne Aubert motive ainsi la demande de question prioritaire de constitutionnalité déposée devant le Conseil Constitutionnel. Pour la première fois celui-ci va donc se pencher mardi sur l'arrêt des traitements des patients incapables d'exprimer leur volonté.
Fin de vie : le Conseil constitutionnel devra trancher sur le rôle des médecins
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Crédit photo : GARO/PHANIE
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