Ces dernières années, la façon d’appréhender la santé des femmes a évolué. Sous l’impulsion des patientes, la pratique gynécologique tend à offrir davantage d’espace au dialogue, que ce soit sur la place de l’examen pelvien, les craintes suscitées par les hormones, etc. En parallèle, de plus en plus de travaux s’intéressent aux particularités féminines de certaines pathologies. Avec, à la clé, l’émergence de recommandations dédiées, comme pour la migraine ou les vomissements gravidiques.
Certains chercheurs s’attachent aussi à mieux comprendre l’influence du « sexome » sur les maladies, notamment métaboliques. Au-delà de la différenciation sexuelle, l’imprégnation hormonale précoce pourrait avoir un retentissement majeur sur les gènes et leur expression.
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Dossier spécial
Santé des femmes : la nouvelle donne
Par Irène Lacamp et Hélène Joubert et Bénédicte Gatin - Publié le 22/05/2023

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