«Primum non nocere », le don de sang se doit d’être le plus sécuritaire possible aussi bien pour celui qui reçoit que celui qui donne. Environ 10 % des personnes qui se présentent pour faire un don présentent une contre-indication mais, dans les trois-quarts des cas, cet ajournement n’est que temporaire.
Zapping
Don de sang : qui peut, qui ne peut pas ? Abonné
Publié le 24/04/2015
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail

Crédit photo : BURGER/PHANIE
La suite de l’article est réservée aux abonnés.
Abonnez-vous dès maintenant
1€ le premier mois puis 7€50/mois
(résiliable à tout moment)
Déjà abonné ?
Vous êtes abonné au journal papier ?
J'active mon compte
Une étude israélienne publiée dans le NEJM confirme l'efficacité en vie réelle du vaccin de Pfizer
La bronchiolite continue de progresser
L'ANSM interdit la vente des sprays nasaux « anti-Covid »
Covid-19 : Les anticorps monoclonaux dans les starting-blocks