Infections à répétition, troubles cognitifs… De nombreux risques sont attribués aux déficits et aux carences martiales incitant à la supplémentation large des jeunes enfants. Pourtant, peu de données scientifiques étayent ces pratiques.
Déficits et carences martiales
Des preuves dures comme fer ? Abonné
Publié le 10/06/2016
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
La suite de l’article est réservée aux abonnés.
Abonnez-vous dès maintenant
1€ le premier mois puis 7€50/mois
(résiliable à tout moment)
Déjà abonné ?
Vous êtes abonné au journal papier ?
J'active mon compte
Une étude israélienne publiée dans le NEJM confirme l'efficacité en vie réelle du vaccin de Pfizer
La bronchiolite continue de progresser
L'ANSM interdit la vente des sprays nasaux « anti-Covid »
Covid-19 : Les anticorps monoclonaux dans les starting-blocks