En 2010, de nouvelles recommandations françaises sur le diabète gestationnel (DG) ont conduit à abandonner le dépistage systématique du second semestre par test O’Sullivan et HGPO au profit d’un dépistage précoce, ciblé sur les femmes à risque via un dosage de glycémie à jeun (GAJ) ; une valeur > 0,92 g/l suffisant à poser le diagnostic. Huit ans plus tard, cette stratégie fait débat chez les diabétologues et a toujours du mal à passer chez les généralistes, comme en témoignent les échanges lors du congrès.
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Publié le 20/04/2018
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Diabète gestationnel
Crédit photo : BURGER/PHANIE
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