Mise au point sur les risques potentiels du cannabis pour l’appareil urinaire, présentation des premières recommandations françaises sur la maladie de Lapeyronie, ou encore mise en garde vis-à-vis de la chirurgie esthétique génitale… Le congrès de l’Association française d’urologie (AFU, 18-20 novembre) a abordé un panel de sujets variés, parfois à la frontière de la sexologie. Également à l’honneur cette année, l’hyperactivité vésicale, objet du rapport annuel de l’AFU.
Congrès de l'AFU 2020
L’urologie tous azimuts Abonné
Publié le 11/12/2020

GARO/PHANIE
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