Comme dans de nombreux autres troubles fonctionnels, entre 20 et 60% des patients sont améliorés sous placebo.
→ Les prokinétiques « classiques » restent logiques avec des résultats inconstants (parmi les traitements, la dompéridone doit être préférée au métoclopramide). Leur prise doit précéder le repas pour espérer un effet clinique. Le nombre de patients à traiter pour observer une amélioration franche est de 6 pour 10 (contre 7 à 10 pour les IPP). Pour certains, cette efficacité relève essentiellement de l'effet placebo.
CHAPITRE 7 : TRAITEMENTS ADJUVANTS Abonné
Publié le 12/04/2013
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