
Une alternative au déficit
Au lieu d'importer des médecins européens dont la qualification est parfois aussi douteuse que la pratique de notre langue et dont l'intégration est le plus souvent aléatoire, pourquoi ne pas envisager des « 'passerelles » avec quelques années complementaires de formation pour ces vocations medicales exclues mais persistant dans leurs desirs de soins et qui ont suivi de solides etudes (pharmaciens, dentistes, infirmiers, sage-femmes ou même osteopathes et, pourquoi pas, veterinaires,...
Ce contenu est réservé aux abonnés
Déjà inscrit ?
Déjà abonné ?
Activez votre compte abonné
pour bénéficier des exclusivités web incluses dans votre abonnement.
Pas encore abonné ?
Abonnez-vous et bénéficiez de l’offre liberté sans engagement au journal Le Généraliste
- L’accès aux contenus gratuits et payants
Bénéficiez de 2 fois plus d’articles et de nombreuses exclusivités. - Le journal numérique sur l’ensemble de vos supports
Consultez votre journal numérique sur ordinateur, mobile et tablette. - Les dossiers d’archives du Généraliste
Naviguez dans les dossiers d’archives mis à jour au fil de l’eau par la rédaction.
Vous devez être inscrit ou avoir activé votre compte abonné.